Bonjour tout le monde !

19 septembre 2014

Bonjour tout le monde !

Salutations à tous
Pourquoi m’en cacher! J’ai rêvé de ce moment. Enfin, me voici ici! Je ne vous promets pas que cette histoire qui commence baignera dans une ambiance de lune de miel. Pas parce que je serais un cracheur de fiel, bien au contraire. Pour tout dire, je suis un « écrits vains »; les plus complaisants lisent « écrivain ». J’ai appris à lire et à écrire à l’école buissonnière; cela se ressent d’ailleurs très nettement dans mes délires et dans l’ire qu’ils provoquent. Vous n’allez pas vous y plaire, mais c’est plus que certain, vous n’allez pas vous ennuyer.

J’ai pensé que pour un premier contact, les présentations s’imposaient. Alors voilà, je suis perçu comme un polémiste. Il est vrai que je suis plutôt dans la pro-VOCATION, comme certains sont dans l’anti-vocation. J’adore heurter de front et de plein fouet autour des sujets tabous. Il y a même chez moi cette propension à me prendre pour le petit zorro en guerre contre la dictature de la pensée dominante. J’abhorre ceux que les foules adorent. Les aveugles qui s’étaient trouvé un « guide » à Syrtre en savent quelque chose; les enfarinés du boulanger d’Abidjan aussi. Suprême indélicatesse, je voue un culte (je n’ai même pas honte de le confesser, pauvre de moi!) à un « NAINdividu » qui cristallise tellement de haine et de rancooeur, et pas seulement à cause du discours de Dakar.
Vous aurez compris que je ne me suis pas lancé dans cette aventure pour une hypothétique quête d’amis; ceci dit, je ne suis pas là non plus parce que mon psy m’aurait prescrit de me constituer une ration quotidienne d’antipathie à faire pâlir de jalousie les gars de Boko haram. Simplement, j’estime que la quête de « j’aime » et de commentaires dithyrambiques n’est pas un gage de sécurité pour ma liberté de penser. Alors entre dire ce que les gens veulent entendre (héro) ou dire exactement ce que je pense (zéro), j’ai clairement choisi d’être un moins que rien.
Autant le dire: vous ne risquez pas de m’aimer. ça tombe bien: j’aime pas qu’on m’aime.
Voilà, vous ne direz pas demain que vous n’aviez pas été prévenus. A bientôt!

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Commentaires

Anonymous
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Colince Yann
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Que Dieu ait pitié de mon arme (sarko) !